Les os, l’ostéoporose et la fracture

L’ostéoporose traduit une fragilité excessive du squelette et elle augmente le risque de fracture

La femme après la ménopause et l’homme au-delà de 70 ans sont plus vulnérables

Les carences en œstrogène, quel que soit le mécanisme, représentent des facteurs de risque d’ostéoporose

Il y a des risques de déficit en œstrogènes et de fracture chez les personnes avec anorexie mentale

L’activité physique intensive de la femme qui se traduit par de la carence en œstrogène va associer un risque d’ostéoporose 

Les facteurs potentiels d’augmentation du risque de fracture peuvent se voir dans les hyperthyroïdies (augmentation de sécrétion des hormones thyroïdiennes) et les traitements par hormones thyroïdiennes

Les concentrations anormalement élevées de corticoïdes (maladies cortico-surrénaliennes, corticothérapie au long court) vont associer un risque d’ostéoporose et de fracture

Les troubles du métabolisme du calcium comme les hypercalcémies dans l’hyperparathyroïdie primaire sont des causes endocriniennes les plus fréquentes des ostéoporoses secondaires

Les traitements qui baissent la production des œstrogènes ou des androgènes (testostérone) chez l’homme peuvent augmenter le risque de fracture

Il existe un risque fracturaire plus augmenté chez les personnes avec un diabète de type 1 et dans une moindre mesure chez ceux porteurs d’un diabète de type 2 

Il existe des solutions pour prévenir et prendre en charge les troubles des os liés à l’ostéoporose

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